Tenir a quelqu'un tellement fort, et qu'au final il part si vite qu'on a à peine eu le temps de lui avouer nos sentiments.
Ne plus jamais le croiser, ou si peu, nous fait tellement mal. Mais on continu à marcher, en ésperant le croiser, mais nous savons que cette chance est si infime qu'elle est pratiquement impossible. Et les larmes contenues pour un seul être ne peuvent plus attendre, elles s'écoulent encore et en choeur, jusqu'au lendemain.
Et on repense à tout ce que l'on a vécu, a ce qu'on a pu dire ou non, et la mélancolie, la tristesse réapparaissent.
Le seul remède, serait qu'il revienne...
Annaëlle.
Certes: c'est plus long et plus douloureux
mais avec le temps, un prend du recul.
Que de textes sur le manque, l'absence, les regrets....
J'espère lire un jour un texte sur la joie et l'après-tristesse!
courage!